A la limite, que les journalistes se soient précipités sans vergogne, je le comprends, même si je le déplore.
Mais il y avait des adultes, des médecins, des gendarmes, etc... autour de ce môme. Ceux-là, je ne comprends pas qu'ils aient laissé cette interview avoir lieu.
Igda, tu as tout à fait raison ; le liberté de la presse est un faux nez qu'on brandit dans 95% des cas pour assurer la liberté de faire du pognon...