...si le paradis a une porte

Rien à dire. Je peux juste apporter ma compassion.

y a pas de justice, de bien, de mal, de pourquoi elle...

ne te bourre pas la gueule, ca ne la ramenera pas...

toutes mes condoleances et bon, le mieux a faire, dans ces cas la, c'est d'etre present pour les parents... quand un truc comme ca arrive, ils se retrouvent seuls, les gens ne s'approchent plus d'eux. eh ouais, quand tu as une vie avec des petits soucis, ou des soucis avec tes mioches, tu te sens con a raconter ca a quelqu'un qui a perdu son mioche et souffre surement beaucoup plus que toi et tes problemes... et du coup, tout le monde s'eloigne, parce que les gens se sentent con, qu'ils ne savent pas quoi dire. les gens s'eloignent, alors que c'est justement la que les parents auraient besoin qu'il y ait du monde avec eux...

bon courage!

'jib

jibus a écrit:

y a pas de justice, de bien, de mal, de pourquoi elle...

ne te bourre pas la gueule, ca ne la ramenera pas...

toutes mes condoleances et bon, le mieux a faire, dans ces cas la, c'est d'etre present pour les parents... quand un truc comme ca arrive, ils se retrouvent seuls, les gens ne s'approchent plus d'eux. eh ouais, quand tu as une vie avec des petits soucis, ou des soucis avec tes mioches, tu te sens con a raconter ca a quelqu'un qui a perdu son mioche et souffre surement beaucoup plus que toi et tes problemes... et du coup, tout le monde s'eloigne, parce que les gens se sentent con, qu'ils ne savent pas quoi dire. les gens s'eloignent, alors que c'est justement la que les parents auraient besoin qu'il y ait du monde avec eux...

bon courage!

'jib

+1

C'est vrai qu'on se sent con. On a l'impression que tout ce qu'on dit n'est que platitudes. On aimerait dire tant de choses et on ne sait pas quoi dire. Peut-être parce qu'il n'y a rien à dire.

jibus a écrit:

y a pas de justice, de bien, de mal, de pourquoi elle...

ne te bourre pas la gueule, ca ne la ramenera pas...

toutes mes condoleances et bon, le mieux a faire, dans ces cas la, c'est d'etre present pour les parents... quand un truc comme ca arrive, ils se retrouvent seuls, les gens ne s'approchent plus d'eux. eh ouais, quand tu as une vie avec des petits soucis, ou des soucis avec tes mioches, tu te sens con a raconter ca a quelqu'un qui a perdu son mioche et souffre surement beaucoup plus que toi et tes problemes... et du coup, tout le monde s'eloigne, parce que les gens se sentent con, qu'ils ne savent pas quoi dire. les gens s'eloignent, alors que c'est justement la que les parents auraient besoin qu'il y ait du monde avec eux...

bon courage!

'jib

bon ben,là,
je suiscomplètement bourrrée, sorry.


je poste passke ton message me touche.
Il me touche bcp.
pour
parcequil est si vrai.


.....

douce nuit

cry

...et que si'il y a un Dieu
qu'il
aille se faire foutre.

..sorry, Le Vieux,

mais là. j'en peux plus.

t'as bien raison, decharge ta colere, ne la garde pas en toi...

crie, frappe quelque chose, pleure.. ca te fera du bien!!

'jib

Un soir le Gendarme est appelé pour "un accident de personne" sur la voie ferrée.
Arrivé sur place, c'est sa gamine qu'il trouve.
Ses collègues l'ont empêché de retourné son arme contre lui.

Un matin les enfant se sont réveillé mais pas leur maman. Sa leucémie a fini par être la plus forte.
Parmi les enfants il y-en a un si petit qu'il ne gardera pas le moindre souvenir de cette inconnue qui lui a donné la vie.


Les deux histoires sont vrai, elles ont touché ma douce personnellement.
La gamine était amie avec la sienne. La maman était une amie a elle.


Un enfant part, une maman part, dans tous les cas la douleur est là dès qu'on peut mettre un visage ou une histoire sur les gens Emma.
Je compatis à ta douleur et a celle des parents. Bon sang ce que ça doit être dur.
Je note que tu ne nous à pas donné les circonstance du décès de la petite.

ben pas grand chose a rajouter que ce qu'on dit les copains
Bon courage a vous

buck a écrit:

ben pas grand chose a rajouter que ce qu'on dit les copains
Bon courage a vous

Moi non plus...
Le temps efface un peu.
0
Qui crois de plus en plus que si dieu existe, il est le patron d'un labo et nous ses cobayes

Salut

Il est vrai que c'est peu tard pour intervenir, si certes j'avais des occupations durant ce week-end, mon retard est plutôt du au fait que je me demandais s'il était possible de trouver des mots de réconfort plutôt que les mots de circonstances habituels, j'y ai beaucoup réfléchis, mais je dois avouer n'avoir rien trouvé., nul poème aussi beau soit-il, , nulle philosophie aussi élevée qu'elle fut ne peut exprimer avec justesse la douleur que chacun peut ressentir face au départ d'un être aimé, les mots perdent leurs raisons face à l'insensé.
Lorsque l'on perd un parent ayant atteint l'âge de fermer les yeux pour la dernière fois, on se console en se disant, « c'est normal, c'est dans l'ordre des choses, ainsi va la vie » bien maigre consolation !
Lorsque l'on perd un enfant, même cette maigre consolation est absente, l'ordre des choses est bousculé, jamais un père ou une mère ne devrait voir ses enfants partir avant eux.
Comment exprimer sa compassion, comment partager la douleur ? hélas, la douleur ne se partage pas, elle se transmets seulement chacun la gardant en entier au plus profond de lui même.

Le plus dur moment sera ou les parents devront ranger les affaires de l'enfant disparu, ranger les jouets et les habits, lorsqu'il se rendront compte qu'ils n'entendront le bruit de ses pas dans la maison, ses rires joyeux, ils se diront peut être pourquoi nous l'a t'on prit ? Pourquoi n'est-ce pas plutôt moi qui suit couché dans cette terre froide et humide ? Cette douleur sera la plus profonde, celle qui persistera très longtemps et peut être toujours.

Des milliers d'enfants meurent chaque jours, la plupart du à la bêtise humaines, et j'irais même plus loin, l'entièreté est du à la seule faute de l'humain, si l'humain depuis des millénaires au lieu de se faire la guerre pour un morceau de terre ou un peu de ferraille fut-elle même jaune or, auraient utilisé leur énergie à rechercher la sagesse, à éradiquer les maladies, à mettre en place des systèmes d'alerte lorsque la nature devient violente, je suis convaincu que nous connaîtrions plus jamais la douleur de perdre un enfant.



Le Vieux qui ne croit pas à la fatalité.

N'étant pas du même avis que le vieux, je pense que la poésie peut apaiser les douleurs.

Victor Hugo était un grand homme et un des plus grands écrivains de l'histoire. Ce fut aussi un homme profondément affecté par la mort accidentelle de sa fille et il a laissé quelques poèmes très touchants.

http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/victor_hugo/demain_des_l_aube.html

http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/victor_hugo/aucune_aile_ici_bas_n_est_pour_longtemps_posee.html

Le plus dur est pour ceux qui restent...

Stéphane, qui prie pour ne jamais devoir vivre ca

Salut

Steph a écrit:

Victor Hugo était un grand homme et un des plus grands écrivains de l'histoire. Ce fut aussi un homme profondément affecté par la mort accidentelle de sa fille et il a laissé quelques poèmes très touchants.

C'est surtout à lui que j'ai pensé lorsque j'ai écris le texte ci-dessus. La poésie l'a sans aucun doute aidé, mais c'est lui qui souffrait et il a trouvé un dérivatif à sa douleur, le meilleur écrire.
Il a écrit aussi un poème qui n'est pas repris dans tes liens, mais qui m'a été très dure de lire, car je n'arrivais pas à le terminer sans fondre en larmes, mais je me suis obligé à le lire jusqu'au bout et l'ai même appris par cœur. Je crois qu'il a écris aussi une lettre (ou prière) à Dieu, lui demandant pourquoi la mort de sa fille.


Le Vieux qui prie aussi pour que cela ne lui arrive pas.

Le Vieux a écrit:

Salut

[C'est surtout à lui que j'ai pensé lorsque j'ai écris le texte ci-dessus. La poésie l'a sans aucun doute aidé, mais c'est lui qui souffrait et il a trouvé un dérivatif à sa douleur, le meilleur écrire.
Il a écrit aussi un poème qui n'est pas repris dans tes liens, mais qui m'a été très dure de lire, car je n'arrivais pas à le terminer sans fondre en larmes, mais je me suis obligé à le lire jusqu'au bout et l'ai même appris par cœur. Je crois qu'il a écris aussi une lettre (ou prière) à Dieu, lui demandant pourquoi la mort de sa fille.


Le Vieux qui prie aussi pour que cela ne lui arrive pas.

Oui, mais sans désavouer Stéphane, je doute que le fait de vouloir faire tourner des tables soit la solution.
Il est vrai que le père de Herlock Sholmès fut également un adepte...

Salut

Anthracite a écrit:

je doute que le fait de vouloir faire tourner des tables soit la solution.

J'ignorais que Victor Hugo s'était adonné au spiritisme, chose que je déconseillerais à quiconque, un ami de mon père qui s'y adonnait en devenait presque fou après la mort de son fils.

Le Vieux

Le Vieux a écrit:

Salut

Anthracite a écrit:

je doute que le fait de vouloir faire tourner des tables soit la solution.

J'ignorais que Victor Hugo s'était adonné au spiritisme, chose que je déconseillerais à quiconque, un ami de mon père qui s'y adonnait en devenait presque fou après la mort de son fils.

Le Vieux

Oui, c'est un fait peu connu, comme la passion de Newton pour l'alchimie, et qui peut s'expliquer, bien que je partage ton jugement, mais qui peut, également apporter un certain apaisement.

Je suis sans opinion à ce sujet, ça dépend de la personne, sans vouloir t'offusquer, c'est comme croire à la survie de l'âme, ça peut également apaiser comme ça peut entraîner vers des actes irréfléchis.

En tout cas, ça témoigne d'un grand amour...

Le Vieux a écrit:

...spiritisme...

C'était très tendance à cette époque, un peu comme Facebook de nos jours...

lgda a écrit:

Le Vieux a écrit:

...spiritisme...

C'était très tendance à cette époque, un peu comme Facebook de nos jours...

Et oui, avec la même pertinence...
Quoique « facebook» peut contribuer à renouer des liens, pour la table c'est plus aléatoire.
Mais j'ai un peu peur de dénaturer ce sujet qui est grave.

je viens juste faire une petite intervention personnelle.
chacun est différent, chacun réagit différemment.

pour ma part, je ne supporte pas la compagnie, le réconfort ou la pitié ou tout autre terme que vous voulez, dans ce genre d'épreuve. je veux qu'on me laisse tranquille, qu'on ne me propose pas de partager ma peine, de discuter...bref rester seul.
j'accuse le coup comme l'animal, pour qui la mort est tragique, violente et surtout incontrôlable.
j'ai besoin de faire un travail de l'esprit (une introspection ?) pour garder le cap.

le temps, mot magique, le seul qui apaise les maux.

alors voilà, je n'ai rien à dire, je ne sais pas les mots qui peuvent soulager, je ne sais pas être là.
soyez forts vous-même, c'est le seul moyen.