Mes impressions:
- J'abhorre le verbe impacter
- Cela consomme de l'électricité. Ca n'a aucune valeur si l'électricité n'est pas verte (polluer pour détruire des polluants?!)
- Appeler un appareil qui consomme de l'électricité une pile est assez...comment dire...gonflé, non?
- Ranger le méthanol dans les polluants organiques est assez...comment dire...gonflé, non? Il est amusant de constater que quand on arrive à produire du méthanol de manière verte, c'est un carburant d'avenir (https://www.science-et-vie.com/galerie/photosynthese-inverse-une-decouverte-revolutionnaire-pour-l-industrie-propre-de-demain-6668) et quand on arrive à le dégrader pour produire de l'hydrogène c'est un polluant organique!
- Ca marche avec le méthanol, molécule simplissime (1 seul carbone, 4 hydrogènes et un oxygene). Imaginer que ce qui marche avec du méthanol marche aussi avec des "polluants organiques", qui contiennent sans aucun doute beaucoup d'atomes de carbone, d'oxygène, de l'azote, du chlore, du soufre et que sais-je encore, est très...comment dire...gonflé, non?
- C'est un peu comme si tu lançais une pierre avec une fronde et que te dirais que la méthode est valable pour envoyer des fusées dans l'espace. A peu de choses près.
Conclusion: Information typiquement belge: on fait d'une souris un éléphant, pour l'unique raison que la souris est belge!
(on écrit "elle ne traite pas encore tous les polluants" alors qu'on n'a encore testé qu'avec le méthanol!!!! R.i.d.i.c.u.l.e)