Découvertes d'évidences

Parfois, j'aime bien les découvertes scientifiques de choses connues, c'est rassurant quant à certain bon sens commun

Où à l'Université de Sidney, ils démontrent que les grosses colères    sont très nocives pour le cœur: "Keep calm, anger can trigger a heart attack!." ScienceDaily. ScienceDaily, 24 February 2015. http://www.sciencedaily.com/releases/2015/02/150224083819.htm

Où à l'Université de Cadix, ils démontrent que fumer des gros pétards, ça ne donne surtout pas envie de bouger, et provoque quelque confusion mentale  "Acute use of cannabinoids depresses motor neuron activity." ScienceDaily. ScienceDaily, 23 February 2015. http://www.sciencedaily.com/releases/2015/02/150223084238.htm
Ils ont expérimenté, c'est sûr  

Où l'Institut National de la Santé démontre qu'une exposition infantile aux agents allergènes diminue le risque d'allergie à maturité: NIH/National Institute of Allergy and Infectious Diseases. "Peanut consumption in infancy prevents peanut allergy, study finds." ScienceDaily. ScienceDaily, 24 February 2015. http://www.sciencedaily.com/releases/2015/02/150224083817.htm
Ils viennent de redécouvrir le principe de mithridatisation.

Où la Science Psychologique démontre    que les gens gèrent au mieux les ressources quand elles sont rares: Association for Psychological Science. "People value resources more consistently when they are scarce." ScienceDaily. ScienceDaily, 12 February 2015. http://www.sciencedaily.com/releases/2015/02/150212131828.htm

Perso je n'ai jamais compris cet engouement pour quelque drogue que ce soit, tabac, cannabis ou autres.

Faut-il comprendre du dernier article cité qu'il ne faut pas donner de valeur à la femme car elle abonde sur terre?

Steph a écrit:

Perso je n'ai jamais compris cet engouement pour quelque drogue que ce soit, tabac, cannabis ou autres.

C'est juste question de classification, tu peux mettre n'importe quoi dans le tiroir "drogue", y compris les produits alcoolisés.

Naguère, la clope était un truc sociable, offrir une cigarette était prétexte pour engager la conversation.

Ouvrir une bonne bouteille et partager, c'est aussi socialiser. Faire tourner un joint, idem.

Je suis bien persuadé que le cannabis en vente contrôlée ferait chuter le recours aux tranquillisants ou autres somnifères, dûment remboursés par la sécu,
que je finance par mes contributions, surtout que ma dernière visite chez le toubib date de 2003.

Steph a écrit:

Faut-il comprendre du dernier article cité qu'il ne faut pas donner de valeur à la femme car elle abonde sur terre?

Faut-il comprendre que tu réifies les femmes?

Pour moi il faut que 2 conditions soient réunies pour que la réunion se passe bien: que chacun évite les excès (surtout relatif à l'alcool) et qu'aucun participant ne soit incommodé par un autre (odeur de transpiration ou de tabac).
Je ne vois pas pourquoi il est plus socialement intéressant de se réunir autour d'une chicha, d'une verre de vin ou d'un pétard qu'autour d'une tasse de thé ou d'un jus de fruits.
Peut-être as-tu une explication?

DonPanic a écrit:

Steph a écrit:

Faut-il comprendre du dernier article cité qu'il ne faut pas donner de valeur à la femme car elle abonde sur terre?

Faut-il comprendre que tu réifies les femmes?

Ne parle-t-on pas de ressources humaines? ;-)

Steph a écrit:

Pour moi il faut que 2 conditions soient réunies pour que la réunion se passe bien: que chacun évite les excès (surtout relatif à l'alcool) et qu'aucun participant ne soit incommodé par un autre (odeur de transpiration ou de tabac).

Disons que tout le monde n'est pas dominé par son odorat.

Steph a écrit:

Je ne vois pas pourquoi il est plus socialement intéressant de se réunir autour d'une chicha, d'une verre de vin ou d'un pétard qu'autour d'une tasse de thé ou d'un jus de fruits.
Peut-être as-tu une explication?

Les apolliniens sont chiants comme la pluie, contrairement aux dionysiaques qui sont festifs

Fatalement quand on fume on ne sent plus rien! Et après on villipende les non-fumeurs d'avoir l'odorat fin (ce qui n'est certainement pas mon cas).


Je peux t'assurer que l'on peut s'amuser en étant sobre (en tout cas en buvant modérément, pour moi cela veut dire 1 verre de vin) et en respirant de l'air pur.
Ce nest pas incompatible. Qu'est-ce que ca impêche?

Steph a écrit:

Fatalement quand on fume on ne sent plus rien!

L'avantage de se flinguer l'odorat, c'est qu'on on ne fait pas la gueule dans les TC d'être trop près d'un travailleur odoriférant des aisselles, surtout l'été, par temps de canicule  

Steph a écrit:

Et après on villipende les non-fumeurs d'avoir l'odorat fin (ce qui n'est certainement pas mon cas).

Que nenni, quelque soit leur odorat, on vilipende exclusivement les non-fumeurs fâcheux, nuance
du genre à dire "ça pue" quand il voit une fumée de cigarette, mais qui s'abstiendrait quand c'est une odeur de pet qui traine
ou à chasser théâtralement de la main un filet de fumée de cigarette tout en stationnant trois pas derrière un échappement de diésel sans faire apnée.

Steph a écrit:

Je peux t'assurer que l'on peut s'amuser en étant sobre (en tout cas en buvant modérément, pour moi cela veut dire 1 verre de vin) et en respirant de l'air pur.
Ce nest pas incompatible. Qu'est-ce que ca impêche?

Et je peux t'assurer qu'on peut s'emmerder à cents sous de l'heure en étant sobre et en respirant de l'air pur.

Un tit peu bourré, ou dédèfe, ça lève des inhibitions, et tu te retrouves à danser avec la petite miss de la soirée qui te paraissait inaccessible et que tu n'aurais jamais songé à draguer sobre et clairvoyant

mais bon, si tu n'aimes pas déconner

DonPanic a écrit:

mais bon, si tu n'aimes pas déconner

:D:D:D:D

Moi ce que je trouve triste c'est de devoir boire pour pouvoir déconner.
C'est une association sociale inculquée dès le plus jeune âge et particulièrement pendant les études: un étudiant, ca boit et ca déconne.
Je n'ai jamais pu adhérer à ce genre de comportement.
Et puis j'ai horreur de draguer, je préfère attendre que les filles me tombent dans les bras

Steph a écrit:

Moi ce que je trouve triste c'est de devoir boire pour pouvoir déconner.

T'attrister des différences entre toi et les autres n'est dommage que pour toi, après tout.  
Ce n'est pas comme ça que tu te demanderas au petit matin "mais qu'est-ce que je fous au lit avec Maïté?"  
rho, j'ai un peu mal aux cheveux  

Steph a écrit:

Et puis j'ai horreur de draguer, je préfère attendre que les filles me tombent dans les bras

Ben tiens, que ça flatte l'égo à fond la caisse.

C'est comme quand la Miss Terrasse du Café, la Miss Wagon de Métro ou la Miss Rame du Train viennent s'asseoir en face ou à côté en souriant quand il y a plein d'autres places libres, et qu'en plus elle demande si la place est libre.

J'étais comme ça aussi, il se trouve que vers mes 25 ans, je rencontrais de temps à autre une très jolie Brigitte que je trouvais super mignonne et je croyais qu'elle me snobait.
Je la rencontre par hasard une quinzaine d'années plus tard, on prend un pot ensemble, on discute, on reparle des amis communs chez qui on se croisait, je lui avoue qu'à cette époque, elle me plaisait beaucoup, elle me dit qu'elle aussi me trouvait tout à fait à son goût et croyait qu'elle m’indifférait...
ou comment deux timides ou deux orgueilleux se ratent.

DonPanic a écrit:

Steph a écrit:

Moi ce que je trouve triste c'est de devoir boire pour pouvoir déconner.

T'attrister des différences entre toi et les autres n'est dommage que pour toi, après tout.  
Ce n'est pas comme ça que tu te demanderas au petit matin "mais qu'est-ce que je fous au lit avec Maïté?"  

et avec la chaude-pisse, l'hépatite B et le SIDA en cadeau. Pour une nuit, même folle, c'est cher payé.
Je suis biologiste, on ne se refait pas :-)

Steph a écrit:

et avec la chaude-pisse, l'hépatite B et le SIDA en cadeau. Pour une nuit, même folle, c'est cher payé.
Je suis biologiste, on ne se refait pas :-)

Tout de suite le film-cata de série B  
Le biologiste s'imagine peut-être que les femmes rêvent d'abuser de mecs écroulés de fatigue d'avoir fait la fête jusqu'à une heure indue ?

DonPanic a écrit:

Steph a écrit:

et avec la chaude-pisse, l'hépatite B et le SIDA en cadeau. Pour une nuit, même folle, c'est cher payé.
Je suis biologiste, on ne se refait pas :-)

Tout de suite le film-cata de série B  
Le biologiste s'imagine peut-être que les femmes rêvent d'abuser de mecs écroulés de fatigue d'avoir fait la fête jusqu'à une heure indue ?

A voir le succès de 50 shades of grey sur la gente féminine, on peut sérieusement se demander à quoi les femmes rêvent.

Steph a écrit:

A voir le succès de 50 shades of grey sur la gente féminine, on peut sérieusement se demander à quoi les femmes rêvent.

Boulechite!
C'est un soufflé médiatique pour ginettes bridées par la morale "ceinture biblique" qui s'imaginent devoir faire une mise à jour logicielle façon tendance.

A quoi rêvent les femmes et les hommes pour de bon, pour commencer leurs routes seraient jonchées de cadavres.

Perso, je plaide virtuellement coupable de génocide de masse pour rêver de temps à autre de voir la Terre débarrassée des cons.

Steph a écrit:

A voir le succès de 50 shades of grey sur la gente féminine, on peut sérieusement se demander à quoi les femmes rêvent.

En ce qui concerne le film, le "succès" semble avoir du mal à dépasser la seconde semaine. Donc, emblématique du succès créé par une communication efficace et qui se dégonfle au vu de la réalité du film : une daube. Ce n'est pas le premier et ce ne sera pas le dernier.

Steph a écrit:

A voir le succès de 50 shades of grey sur la gente féminine, on peut sérieusement se demander à quoi les femmes rêvent.

Je l'ai pas lu, mais ma soeur (qui fait partie de la part de marché visée) l'ai lu (le premier) et n'a même pas réussi à le finir tant il est inintéressant...
Une amie lui a proposé le deuxième, elle a refusé de le lire, pas besoin de renouveler l'expérience !

DonPanic a écrit:

Perso, je plaide virtuellement coupable de génocide de masse pour rêver de temps à autre de voir la Terre débarrassée des cons.

Groupe dont tu t'exclus évidemment

Puisque nous sommes tous le con de quelqu'un ... il ne devrait pas y avoir de survivants.