imprimantes 3D

http://blogs.lesechos.fr/internetactu-net/l-impression-3d-est-elle-le-moteur-de-la-fabrication-de-demain-a9118.html

Bonjour,

Je serais contente de connaitre votre avis, sur l'évolution possible de cette technologie...

De l'image en 3D dans l'ordi, voir se concrétiser le même volume dans une espéce de bac, c'est magique

Ne gachez pas mes fantasmes de groupie de SF SVP...

Blondie

Bon article, qui explique bien la situation.

Mais peux tu poser une question précise ?

Si tu veux imprimer des fleurs en plastique, c'est OK
Si tu veux imprimer une voiture, un tracteur oou une charrue multisocs pour ton homme, oublie !
par contre peut-être que dans quelques années, tu pourras imprimer un steack...

Bonjour

Citation :

par contre peut-être que dans quelques années, tu pourras imprimer un steack...

Ca fait déja quelques temps, j'ai vu se constituer couches aprés couches (dans un bain de quelque chose)
une piéce mécanique en espéce de cire

Pi, dans le 5° élément, la reconstitution de Lilou m'y à fait penser...

Sérieusement, scanner quelque chose en tranches, a part les volumes extérieurs, peut-on aller plus loin???

Blondie

blondie a écrit:

Sérieusement, scanner quelque chose en tranches, a part les volumes extérieurs, peut-on aller plus loin???

Blondie

Un scanner IRM te montre tout ce qu'il y a sous la peau, pas seulement la surface...

Pour ce qui est des imprimantes 3D, elles impriment tout, y compris les volumes intérieurs.
A moins que tu n'aies explicitement prévu des vides, l'intérieur sera plein.
Ca n'imprime pas des coquilles mais des volumes compacts.

C est pas abordé dans l article, mais il existe des imprimantes 3d qui font des objets en metal.
Très chouette, non ?
Bon c est très cher

Aucune idée en revanche de la résistance des matériaux créés, "basique" comme "métallique".

Par contre ça doit pourvoir être utilisé pour créer un moule de base et oui ça fait franchement SF. J'adore ! :-)

Nieur a écrit:

C est pas abordé dans l article, mais il existe des imprimantes 3d qui font des objets en metal.
Très chouette, non ?

Bonjour

Avec l'enregistrement 3D, je peut donc faire faire la clef du coffre
sans avoir à me promener avec une copie physique???

Mataharie Alias Blondie

blondie a écrit:

Nieur a écrit:

C est pas abordé dans l article, mais il existe des imprimantes 3d qui font des objets en metal.
Très chouette, non ?

Bonjour

Avec l'enregistrement 3D, je peut donc faire faire la clef du coffre
sans avoir à me promener avec une copie physique???

Mataharie Alias Blondie

Et des euros ?

Pour cela, il faudrait avoir le bon papier et les bonnes encres, je le sais, je fais un billet de 100 tous les soirs dans ma cave! (faut pas en faire trop, car c'est comme ça qu'on se fait piquer!)

-paul a écrit:

(faut pas en faire trop, car c'est comme ça qu'on se fait piquer!)

Ni de trop grose valeur, à mon avis l'idéal serait cinquante euros, les billets de cent et plus sont plus contrôlés !

Pour le fun, j'ai eu le cas avec un billet de cent provenant en direct de la banque.
Après contrôle, on m'a dit que c'était probablement un faux, mais que si le commerçant en question pouvait le faire déposer, il me tiendrait quitte.

Ben, il est passé, bien que l'ayant examiné par rapport à un supposé vrai, je lui ai trouvé très mauvaise mine, même au premier* coup d'oeil...

*Teinte sensiblement différente.

Il peut être interessant de faire contrôler un billet par .... un aveugle! en effet, le toucher est trés important pour l'identification d'un billet. Le papier est trés difficile à obtenir (normal), ou encore plus à voler. En outre, pour le voyant, il y a le filigrane, les bandes anti copie irisées, les couleurs...
Dur dur le métier de faux monnayeur, au temps des assignats, c'était moins compliqué !

Bonjour

Il me semble avoir lu,que les imprimantes refusent d'imprimer des dollards...

paul a écrit:

Le papier est trés difficile à obtenir (normal), ou encore plus à voler.

Comme les coupures(dollard) sont de même dimentions, il suffit de " laver" le billet avant une nouvelle impression

Blondie qui a de mauvaises lectures, mais pas de mauvaises fréquentation

On commence par de mauvaises lectures!.... (je plaisante!)
Il me semble plus facile de laver un chèque.... mais il ne faut pas le faire à l'eau (l'encre pour fonds de chèques était faite avec du miel dénaturé, je ne sais pas si c'est toujours le cas aujourd'hui, mais c'est de toutes façons trés soluble à l'eau.
(pas possible d'utiliser des produits à base de bisulfite/permanganate).
C'est de toutes façons un passe temps qui conduit souvent à être nourri logé blanchi par l'état !

-paul a écrit:

C'est de toutes façons un passe temps qui conduit souvent à être nourri logé blanchi par l'état !

D'où, économies supplémentaires.
Bref, on est toujours gagnant...

C'est un point de vue, pour ma part, je pense que rien ne vaut la liberté !!!

-paul a écrit:

C'est un point de vue, pour ma part, je pense que rien ne vaut la liberté !!!

Parce que tu crois que nous sommes libres ?

J'ai des souvenirs plus proche que les tiens, mais ne crois-tu pas que pendant ta folle et lointaine jeunesse, tu n'avais pas plus de liberté ?

La limite entre la liberté et l'anarchie est difficile, c'est connu depuis l'antiquité.
L'être humain n'est pas encore capable de s'auto discipliner, il faut donc que certains disciplinent d'autres, c'est tout le principe de la justice (j'ai été magistrat élu), un métier difficile que celui de rendre la justice à ses concitoyens!
Il faut être serein, c'est à dire ne pas avoir de préjugé, de sentiments, analyser clairement les faits avec rigueur,les comparer avec ce qui est prévu par la législation (et là, aucun ordinateur ne peut te secourir) , et pour finir, lorsque l'on a pris une décision, il faut expliquer sa décision .
Mais même si la liberté est encadrée, elle demeure une bien belle chose, que dire de l'égalité et de la fraternité ??? (certains seraient plus égaux que d'autres).

Bah, d'après mes parents et, surtout mes grands-parents, on était bien plus libre (du moins les gens honnêtes) qu'actuellement (toujours pour les gens honnêtes).
Et ce n'était pas vraiment l'anarchie, par exemple dans les années cinquante, où la sécurité (encore celle des gens honnêtes) était bien plus renforcée de nos jours...
D'après ce que je vois actuellement, c'est la grosse déresponsabilisation qui est privilégiée, à coup d'interdit et d'amendes. (Ça rapporte à l'État !) et les malfrats, qui coûtent en prison, sont réinsérés de force dans notre société, avec un taux de réussite (ceux qui ne recommencent pas tout de suite) de quelques pour cent.

Enfin, il semblait que sans anarchie avec un sentiment de sécurité inouï de nos jours, et sans tous nos "progrès", on ne vivait pas plus mal, pour ne pas dire bien mieux.

c'est le syndrome "du bon vieux temps, mais, si l'on examine objectivement, on ne voit pas tout à fait les choses de la même manière!
Il y avait plus de gendarmes et de policiers, ils n'avaient pas la culture des représentants de l'odre actuels, certains étaient bornés, alcooliques, ainsi notre médecin de famille avait été arrêté par 2 gendarmes qui avaient voulu le faire "souffler", mais il ne faut pas la faire à un médecin, il leur avait répondu "après vous", et, par crainte d'un scandale, ils l'avait laissé partir sans autre forme de procés! (il faisait sa tournée, car les médecins se déplaçaient à l'époque!).
J'ai connu mai 68, et je travaillais, je puis te dire que nous avions la trouille pour aller bosser, car on était au bord de la guerre civile, et le Général, qui était Président , avait "fait la guerre"!, les CRS (ss) "bouffaient de l'étudiant" et tout ce qui leur tombait sous la matraque! Il faut se souvenir de tout, objectivement!
Pareil pour d'autres sujets comme les aliments et la sécurité alimentaire, la santé en milieu hospitalier.....
Pour ce qui est de la fraternité, par exemple, il y avait l'abbé Pierre, mais il n'y avait pas Coluche, il n'y avait pas de banques alimentaires, il n'y avait pas de CMU, pas de RMI, était ce bon ou mauvais ?

paul a écrit:

c'est le syndrome "du bon vieux temps, mais, si l'on examine objectivement, on ne voit pas tout à fait les choses de la même manière!

Bonjour

La société c'est tellement transformée !!!

La plus grosse partie de la population était rurale en France à cette époque

Les cultivateurs représentaient 80% de cette population, il en reste 20%...

Puis Papy me dit que même dans les petits villages on pouvait laisser le porte monnaie sur la table et la porte de la maison ouverte

Mais, encore de nos jours, dans nos terres, (les malfaisants sont connus..).Il n'y a pas de sentiment d'insécurité

L'insécurité n'est-il pas que le résultat de l'entassement de miséreux dans les banlieux, qui survivent comme ils peuvent, Non???

Chais bien, c'est pas politiquement correcte

Blondie

blondie a écrit:

La plus grosse partie de la population était rurale en France à cette époque

Les cultivateurs représentaient 80% de cette population, il en reste 20%...

Puis Papy me dit que même dans les petits villages on pouvait laisser le porte monnaie sur la table et la porte de la maison ouverte

Mais, encore de nos jours, dans nos terres, (les malfaisants sont connus..).Il n'y a pas de sentiment d'insécurité

L'insécurité n'est-il pas que le résultat de l'entassement de miséreux dans les banlieux, qui survivent comme ils peuvent, Non???

Bonsoir,

Moi, je les nommes agriculteurs, ce qui ne les empêche pas d'être cultivés ! La France rurale a évolué comme le reste, ne soyons pas nostalgiques: aujourd'hui, ils peuvent prendre un peu de vacances, et ne travaillent plus systématiquement 16 heures, c'est tant mieux!
Nombreux sont les urbains qui s'imaginent un cadre bucolique et enchanteur, la réalité est plus prosaique, moins romanesque !

Il est quand même difficile à accepter que les petits agriculteurs, qui nourrissent leurs semblables ont du mal à se nourrir eux même! Evidamment, pour pouvoir faire les prix exigés par la grande distribution, il faut faire la course à la rentabilité , et donc avoir des exploitations énormes, mécanisées, avec exploitation satellitaire du rendement des "parcelles" kilométriques!
Les quelques ouvriers agricoles qui restent sont des spécialistes formés à la biologie, la chimie, la génétique... Plus rien à voir avec l'ancienne France rurale qui avait son lot de misères et creuvait parfois de faim en silence!

J'ai eu quelques affaires en Prud'homme dans le secteur agricole, c'était glauque (exploitation de l'homme par l'homme), et les gens se haissent cordialement! Pas de trés bons souvenirs, quelquefois, cela se termine aussi par une pendaison pour un petit exploitant qui perd sa petite ferme (c'est arrivé ici il y a 3 ans). Les ruraux ne parlent pas beaucoup, mais comme leurs animaux, ils ruminent !

On est loin de Heidi, et des campagnes de carte postale!!!

Je sais, ce n'est pas trés optimiste, mais à force de cotoyer cela, ça finit par déteindre !

A propos de ruralité, Blondie, comment va le haras ?
C'est quand même bon, tout çà (surtout quand on n'est pas un petit agriculteur!)

Ouais Paul et pas seulement civile la guerre: la tension à Cuba avec la baie des cochons et la crise des missiles, on était au sommet de la guerre froide et en plein milieu du jeu de quille.

Quant à l'agriculture rurale son évolution n'est pas toujours négative. Mes parents ont construit leur maison dans une rue qui à l'époque était distinée à l'élevage de porcs et il y avait une puanteur ambiante 365 jours par an. Et je ne parle pas des hurlements qu'on entendait à 3 km lorsqu'on les égorgeait. Et c'est sans compter les terrains dénudés et transformés en d'immenses champs de gadoue. Tout ca pour en arriver à une viande qui n'a finalement pas beaucoup de qualités sinon son prix.
A présent les cochons sont enfermés et leurs déjections sont traitées pour éviter la puanteur et on se promène dans de jolis vergers.

Je te comprend, Steph, une porcherie de cent ou 200 cochons, ça pue, mais je suis étonné qu'ils aient été abattus sur le lieu d'élevage, car même il y a 40 ans, les règles sanitaires existaient!
Ceci étant, tant mieux si aujourd'hui il y a des vergers à la place du lisier, mais tu es sûr qu'il n'y a pas de lisier dans les vergers ?

-paul a écrit:

Je te comprend, Steph, une porcherie de cent ou 200 cochons, ça pue, mais je suis étonné qu'ils aient été abattus sur le lieu d'élevage, car même il y a 40 ans, les règles sanitaires existaient!
Ceci étant, tant mieux si aujourd'hui il y a des vergers à la place du lisier, mais tu es sûr qu'il n'y a pas de lisier dans les vergers ?

Si on purine toujours les prairies mais ca sent beaucoup moins fort et surtout moins longtemps. Dés que c'est sec ca ne sent plus.