Il faut bien remarquer, qu'en aéronautique, un kilo de plus entraîne du poids en plus, délicieuse Blondie.
Ben oui, il faut renforcer la structure du fuselage — poids supplémentaire — et ajuster la surface alaire en conséquence, également du poids en plus.
On peut dire que lorsqu’un kilo nécessite l'ajout d'un kilo, qu'on n’est pas sorti de l'auberge...
Le dernier Airbus en est un bel exemple, on a dû faire une chasse impitoyable aux kilos superflus.
À mon avis, on commence à frôler les dimensions limites d'un avion à fuselage.
L'avenir est probablement aux ailes volantes bien que celles-ci présentent d'autres inconvénients.